Voleur de paroles
2013
48 pages, broché sous jaquette
Prix : 800 euros
Julio Le Parc égratigne le milieu artistique en se mettant dans la peau de commentateurs imaginaires : critique, marchand, artiste raté... Livre accompagné d'une œuvre originale, sérigraphie, pièce unique
Tirage : 285 exemplaires
Prix : 800 euros
Artiste engagé, Julio le Parc prend part en 1960 à la fondation du GRAV (Groupe de recherche d’art visuel), qui concrétise, donne forme, organise et développe la confrontation des idées et expériences des onze artistes qu’il regroupe. Outre les expositions et autres Labyrinthes qu’il conçoit, le GRAV publie tout au long de son existence des textes provocateurs sur le milieu de l’art. À l’occasion de la Biennale de Paris en 1961, est lancé le manifeste « Assez de mystifications » qui s’en prend violemment à «l’art officiel ». Dans Voleur de paroles, qui parait aujourd’hui aux éditions Jannink dans la collection « L’art en écrit », Julio Le Parc revient sur ce texte, glissé dans la peau de commentateurs imaginaires : le critique, l’artiste raté, le marchand... égratignant encore une fois et comme à son habitude les divers acteurs du milieu artistique.